Thursday, October 31, 2019

Write a literature review on the reliability of the clinical Essay

Write a literature review on the reliability of the clinical assessment of the 1st Ray - Essay Example aluation is carried out through the use of one hand to stabilize the four lateral metatarsals while the other hand of the examiner applies pressure on the head of the first metatarsals to cause a plantar or dorsal displacement. Even though this method is vague with reference only to inter-examiner reliability, manual testing could be adequate enough for a personal clinician to categorise the motion of the foot as being hypermobile, normal or stiff. Several comparisons with other patients are beneficial in assisting the clinician to determine whether the first foot is normal or not. First Ray Examination: essentially, the first ray is an important part of the foot as it contributes to the movement and gait of a person. Since clinical evaluations have often found first ray abnormalities to be associated with the hillux rigidus, hallux valgus and metatarsus primus varus. Medical practitioners believe that there is a mechanical explanation for these pathologic conditions (Glasoe et al 1999). The mechanical movement of the foot is imperative to locomotion and therefore, abnormality will cause difficulties in movement. Diagnosing a problem in the mobility of the first ray by using the manual model is achieved in this manner; with the ankle placed at a neutral position, a slight pressure is applied to dorsiflxion just below the first ray metatarsal head, there will be an inferior portion of the first metatarsal brought to the sagittal plane level of the smaller metatarsal heads (Cornwall et al (2004). In case the inferior element of the heads of the first ray metatarsal do not contact the smaller metatarsals’ plane, then the first ray is considered as stiff. However, in case the features of the first metatarsal head go beyond the smaller metatarsals plane, then the first Ray can be described as hypermobile (Voellmicke & Deland 2002). Since theses diagnoses are critical in a clinical setting, their reliability and validity is equally important. This is because

Tuesday, October 29, 2019

Quality Management and Continuous Improvement Uni 3 DB Essay

Quality Management and Continuous Improvement Uni 3 DB - Essay Example Use of team contacts: Finding time to make students work together and giving responsibilities and roles to each group member can be difficult (Kelly, 2009). Therefore each group should structure a team contract to outline when and how the group can work as one. Options for interaction include audio bridging, e-mail, text-based chat, threaded discussion or document sharing. Team contacts help the instructor to easily track down students and students are able to contact on another without difficulties. Explain group work importance: Some students do not like working in groups although they need to see the benefits of such group works. This is because working teams is critical and students have to learn so that they can be functional when it is time to work (Kelly, 2009). This technique will be able to embark upon complex tasks together than they would individually, overcome fear, develop strong communication skills, challenge assumptions, manage time, receive encouragement when taking risks, share broad perspectives, develop new and better approaches of resolving differences and realize their strengths and

Sunday, October 27, 2019

Perception Du Risque Et Intention French Essay

Perception Du Risque Et Intention French Essay La faible absorption par les Economies en Dà ©veloppement des ressources humaines qualifià ©es renforce le dà ©bat sur la nà ©cessità © de favoriser linsertion des jeunes par des initiatives autres que le travail salarià © ou le fonctionnariat. Diffà ©rentes initiatives sont prises allant jusquà   la crà ©ation des fonds dinsertion des jeunes par la mise à   disposition des crà ©dits de dà ©marrage et des structures daccompagnement. Malgrà © ces initiatives incitatives, beaucoup de jeunes ne sont pas candidats. Quelles sont les raisons possibles de cette rà ©ticence? une faible culture entrepreneuriale de ces jeunes ou une perception-menace du risque? une faible prà ©fà ©rence au risque? la perception du risque a-t-elle une influence sur leur prà ©disposition future à   crà ©er leurs propres entreprises? Cette recherche tente de rà ©pondre à   ces questions à   partir dune à ©tude de terrain menà ©e auprà ¨s de 500 à ©tudiants de cinq filià ¨res de formation. Mots clà ©s: Entrepreneuriat, Perception du risque, Prà ©fà ©rence au risque, intention entrepreneuriale Perception du risque et intention entrepreneuriale des à ©tudiants: une recherche comparative entre à ©tudiants en commerceet dautres formations universitaires au Bà ©nin RESUME La faible absorption par les Economies en Dà ©veloppement des ressources humaines qualifià ©es renforce le dà ©bat sur la nà ©cessità © de favoriser linsertion des jeunes par des initiatives autres que le travail salarià © ou le fonctionnariat. Diffà ©rentes initiatives sont prises allant jusquà   la crà ©ation des fonds dinsertion des jeunes par la mise à   disposition des crà ©dits de dà ©marrage et des structures daccompagnement. Malgrà © ces initiatives incitatives, beaucoup de jeunes ne sont pas candidats. Quelles sont les raisons possibles de cette rà ©ticence? une faible culture entrepreneuriale de ces jeunes ou une perception-menace du risque? une faible prà ©fà ©rence au risque? la perception du risque a-t-elle une influence sur leur prà ©disposition future à   crà ©er leurs propres entreprises? Cette recherche tente de rà ©pondre à   ces questions à   partir dune à ©tude de terrain menà ©e auprà ¨s de 500 à ©tudiants de cinq filià ¨res de formation. Mots clà ©s: Entrepreneuriat, Perception du risque, Prà ©fà ©rence au risque, intention entrepreneuriale Introduction Le dà ©veloppement du systà ¨me à ©ducatif à   travers la multiplication et la diversification des offres de formation permet aux nations de se doter des ressources humaines qualifià ©es pour animer divers secteurs de la vie à ©conomique et sociale. En consà ©quence chaque annà ©e, ce sont des milliers de jeunes diplà ´mà ©s qui sont libà ©rà ©s de nos università ©s et divers centres de formation pour à ªtre  «versà ©s » sur le marchà © de lemploi. Malheureusement sur ce marchà ©, le permanent dà ©sà ©quilibre qui existe entre loffre et la demande contraint gà ©nà ©ralement le surplus de demandeurs demploi au chà ´mage. Toute jeunesse à   travers le monde et en particulier celle des pays pauvres dAfrique est gà ©nà ©ralement victime de tels dà ©sà ©quilibres socio-à ©conomiques et professionnels. Face à   cette situation, les jeunes diplà ´mà ©s se comportement diffà ©remment selon les pays afin de soffrir des opportunità ©s de rà ©ussite dans le urs vies professionnelles privà ©es. Si dans les pays dà ©veloppà ©s, on note un cadre stimulant à   linitiative privà ©e, cest le cas contraire en Afrique. En effet, pour les contextes dà ©veloppà ©s, Hernandez (2006) souligne que face aux difficiles contraintes de la socià ©tà © postmoderne, sinvestir dans son propre projet professionnel, dans la crà ©ation de sa propre organisation, peut à ªtre vu comme une faà §on de redonner du sens à   une vie qui en manque de plus en plus. En Afrique, trà ¨s peu dentre eux arrivent à   prendre des initiatives personnelles pour crà ©er leur propre entreprise. Les quelques uns qui parviennent à   initier ont tendance à   imiter exactement ce qui se fait dà ©jà   sur le marchà ©, une attitude contraire à   ce qui caractà ©rise lentrepreneur dans la tradition Schumpetà ©rienne et rappelà © par Fonrouge (2008): lentrepreneur est celui qui propose de nouvelles combinaisons de produit et/ou manià ¨res de faire, donc un inno vateur. Pour la majorità © dentre eux en Afrique, cest la logique de  «lemploi à   tout prix »[1] (Sogbossi, 2005). Cest ainsi que par exemple au Bà ©nin, un phà ©nomà ¨ne connu gà ©nà ©ralement sous le nom de  «vacation » a vu le jour. Il consiste pour les jeunes cadres sortis des università ©s à   prendre dassaut les à ©tablissements denseignements secondaires pour y donner des cours dans lespoir du mieux. Sil est vrai que ce phà ©nomà ¨ne contribue fortement à   combler le dà ©ficit trop criard denseignants dans ces à ©tablissements, il nen demeure pas moins vrai que cela constitue un và ©ritable manque à   gagner aussi bien pour ces jeunes que pour tout le pays en gà ©nà ©ral. Malgrà © leurs formations qui font deux des gestionnaires, des à ©conomistes, des sociologues, des juristes etc., ces jeunes sont obligà ©s de donner des cours de Mathà ©matiques, de Sciences Physiques et Chimiques, de Biologies, de Franà §ais, dAnglais etc. dautres par contre finissent par regagner des professions militaires et paramilitaires afin de se garantir un emploi dà ©finitif. Cest donc dire que ces jeunes cherchent essentiellement à   soffrir un emploi salarià ©. Ils sont prà ªts à   tout sauf la crà ©ation dune entreprise. Ils sont presque tous obsà ©dà ©s par lidà ©e de gagner un emploi salarià © que lon est tentà © de conclure quils ont une aversion pour lentrepreneuriat. Cette situation contraste avec les conclusions de Hetezel (2006) pour les pays dà ©veloppà ©s. Dans son rapport, cet auteur souligne la forte tendance des jeunes à   entreprendre en donnant lexemple du passage chaque annà ©e de 8000 jeunes diplà ´mà ©s environ de lenseignement supà ƒ ©rieur du statut dà ©tudiant à   celui de crà ©ateur ou repreneur. Hernandez (2006) explique cette forte propension à   crà ©er par le fait que lindividu dà ©sorientà © dans sa vie privà ©e comme dans sa vie professionnelle, est en quà ªte de sens. Cest lune des raisons pour lesquelles lentrepreneuriat est aujourdhui devenu un enjeu important pour plusieurs nations. Basso (2005) explique cet enjeu par le fait que là ©mergence dun avenir radicalement non prà ©visible appelle la nà ©cessità © dune nouvelle posture volontariste, qui cherchera à   maà ®triser le risque en construisant son propre destin. En expliquant les facteurs dexistence de lentrepreneuriat chez les migrants maliens et sà ©nà ©galais en France, Dieng (2000) fait ressortir que la raretà © de lemploi, les difficultà ©s et la volontà © dune meilleure insertion à ©conomique et sociale entraà ®nent le dà ©veloppement de lentrepreneuriat chez ceux-ci. Il apparaà ®t alors que la capacità © des nouvelles entreprises à   gà ©nà ©rer de la croissance à ©conomique, des emplois et de linnovation justifie dailleurs amplement lintà ©rà ªt quelles suscitent. Devant cet enjeu, les milieux universitaires sont amenà ©s à   jouer un rà ´le de plus en plus actif, notamment en offrant des formations et supports à   leurs à ©tudiants de faà §on à   rendre la carrià ¨re entrepreneuriale plus accessible. Cette implication des università ©s est dautant plus importante dans le contexte actuel de la nouvelle à ©conomie oà ¹ les à ©tudiants sont de plus en plus amenà ©s à   considà ©rer cette avenue profession nelle (Gasse et al. 2006). Si un grand nombres duniversità ©s dà ©veloppent activement leurs liens avec le monde professionnel à   travers la formation professionnelle continue, les sà ©minaires, les projets de recherche conjoints, †¦ (Dontriaux, 1992), trà ¨s peu dinitiatives similaires existent dans les pays sous-dà ©veloppà ©s. Dans un tel contexte de faible culture entrepreneuriale et donc peu incitatif, lentrepreneuriat peut apparaà ®tre pour les jeunes diplà ´mà ©s comme est un acte hautement risquà © quil faut sabstenir dembrasser si on ne dispose pas dimportants moyens financiers et matà ©riels, et dun soutien indà ©fectible de son entourage. Alors que la situation de pauvretà © amà ¨ne les populations à   se battre autrement, on sà ©tonne de lattitude des jeunes diplà ´mà ©s, une attitude axà ©e sur lattente dun emploi salarià © et la rà ©ticence à   la crà ©ation. Un tel à ©tat des choses suscite assez dinterrogations dont une a particulià ¨rement retenu notre attention:  ¶ comment les jeunes à ©tudiants bà ©ninois perà §oivent-ils le risque entrepreneurial et quelle est leur prà ©fà ©rence au risque? Par ailleurs, Lentrepreneuriat entendu au sens strict comme une actività © crà ©atrice de nouvelles organisations, est considà ©rà © comme un phà ©nomà ¨ne producteur demploi et de richesse. Malheureusement, force est de constater que pour la jeunesse, lidà ©e dentrepreneuriat est source dune peur nourrie par la crainte de là ©chec. La crà ©ation dune entreprise, aussi passionnante quelle puisse paraà ®tre, comporte à ©galement des risques à ©normes. Par consà ©quent, elle ne saurait à ªtre une improvisation de la part de son auteur, mais plutà ´t le fruit dune intention nourrie auparavant de rà ©flexions et danalyses profondes. Dà ¨s lors, quelle est lintention entrepreneuriale des à ©tudiants en fin de formation? Enfin, en dehors de la perception du risque, des à ©tudes ont dà ©montrà © que les prà ©dispositions entrepreneuriales sont le fruit de plusieurs facteurs: les facteurs denvironnement (là ©volution des personnes dans des milieux donnà ©s) et les facteurs individuels (les promoteurs dentreprise possà ¨dent certaines caractà ©ristiques particulià ¨res). Gasse (2003) explique par exemple que la dà ©cision dentreprendre repose sur trois dimensionsfondamentales: la dà ©sirabilità ©[2], la faisabilità © perà §ue, la crà ©ation (les moyens). Lentrepreneuriat à ©tant avant tout une faà §on dà ªtre, un style de vie, la dà ©sirabilità © est influencà ©e par la famille et les proches, le milieu immà ©diat, le profil psychologique, lexpà ©rience, là ¢ge, le niveau dinstruction et de compà ©tence, le type de formation . Cest donc dire que le goà »t pour lentrepreneuriat peut à ªtre lià © au type de formation. Ainsi, Est-ce que la filià ¨re de formation des à ©tudiant s a-t-elle une influence sur leur intention entrepreneuriale? A travers ces questions, lobjectif gà ©nà ©ral de cette recherche est danalyser la perception du risque et lintention entrepreneuriale des à ©tudiants en fin de formation. Dans un contexte oà ¹ la notion traditionnelle demploi est remplacà ©e par le concept de portefeuille dactività ©s que chacun gà ¨re pour son compte (Hernandez), cette rà ©flexion sur lentrepreneuriat des jeunes en labsence dà ©tudes empiriques dans le contexte bà ©ninois est dun intà ©rà ªt rà ©el. Elle est structurà ©e en quatre parties: la partie thà ©orique, la mà ©thode utilisà ©e, les rà ©sultats et la conclusion. 1. Cadre conceptuel de la recherche Le terme  «entrepreneuriat »[3] est un terme trà ¨s large admis dans un sens individuel, collectif et pour lentreprise en entier. Cet à ©largissement de sens entraà ®ne ainsi, la multitude dacceptations quon retrouve dans la littà ©rature (Leger-Jarniou, 2008). En effet, procà ©dà © mis en place par des individus, lentrepreneuriat identifie de nouvelles opportunità ©s et les convertit en produits ou services commercialisables. Il est aussi laction de constituer une organisation et en particulier la crà ©ation dentreprise. Il recouvre lensemble des actività ©s rà ©elles quelque soit leur nature et susceptibles de procurer des gains futurs (Dieng, 2000). Pour Verstraete et Fayolle (2005), lentrepreneuriat est une  «initiative portà ©e par un individu (ou plusieurs individus sassociant pour loccasion) construisant ou saisissant une opportunità © daffaires (du moins ce qui est apprà ©cià © ou à ©valuà © comme tel) dont le profit nest pas forcà ©ment dordre pà ©cun iaire par limpulsion dune organisation pouvant faire naà ®tre une ou plusieurs entità ©s et crà ©ant de la valeur nouvelle (plus forte dans le cas dune innovation) pour des parties prenantes auxquelles le projet sadresse ». Lentrepreneuriat relie donc lindividu à   une opportunità ©[4], et cest justement dans ce sens que Brush et al. (2003) donneront une dà ©finition de lentrepreneuriat qui prendra en compte les deux notions: entrepreneur et opportunità ©. Pour eux, lentrepreneuriat est une discipline qui à ©tudie le processus par lequel les entrepreneurs identifient, explorent et exploitent une opportunità ©. Ainsi, lentrepreneur est souvent associà © à   la crà ©ation voire de faà §on rà ©solument synonymique (Verstraete, 2000). Ce dernier se rà ©serve, quant à   lui, de donner une dà ©finition de lentrepreneuriat; pour lui, cest un phà ©nomà ¨ne bien trop complexe pour à ªtre rà ©duit à   une simple dà ©finition. Il se rà ©sout à   en donner une plus large: ‘Lentrepreneuriat est un phà ©nomà ¨ne combinant un individu et une organisation, lun se dà ©finissant par rapport à   lautre et vice versa. Lengagement de cet individu dà ©pend de sa perception du risque lià © à   son initiative, une perception qui à   son tour dà ©terminera lintention entrepreneuriale. Ainsi, cette partie thà ©orique abordera successivement le risque entrepreneurial et lintention entrepreneuriale. 1.1 Le risque entrepreneurial et sa perception Pendant longtemps, les chercheurs en entrepreneuriat ont soutenu lidà ©e que crà ©er une entreprise est un comportement risquà ©. Fayolle et al. (2008) ont alors soulignà © que la volontà © à   prendre des risques ou la propension au risque à ©tait le trait de personnalità © qui discriminait les entrepreneurs des non-entrepreneurs. La prise de risque apparaà ®t ainsi comme lune des caractà ©ristiques distinctives du comportement entrepreneurial. Elle demeure au cÅ“ur des diffà ©rentes recherches qui ont abordà © lentrepreneur en ce sens que la crà ©ation dune nouvelle entreprise ou la reprise dune existante est par dà ©finition une aventure tachà ©e de risques. Le risque est prà ©sent dans tout projet, quel que soit lactività © ou le secteur visà ©, il est une consà ©quence à ©vidente de lincertitude et de la contingence dans laquelle baigne chaque projet. Sa perception est alors admise comme un dà ©terminant du comportement entrepreneurial de lindividu. Cette perception a à ©tà © conceptualisà ©e dune manià ¨re gà ©nà ©rale comme une à ©valuation du risque par le dà ©cideur ou lacteur dans une situation donnà ©e. Ainsi, le risque est perà §u comme un dà ©terminant du comportement risquà © et de la prise de dà ©cision entrepreneuriale. Autrement dit, la perception du risque est prà ©sumà ©e à ªtre nà ©gativement associà ©e avec les comportements ou les dà ©cisions risquà ©es et lacte de crà ©ation dentreprise. Macgrimmon et Wehrung (1985) postulaient que «la prise de risque comprend deux composants: le degrà © de risque des situations et la volontà © des individus à   prendre des risques ». Limportance relative de ces à ©là ©ments[5] a à ©voluà © au cours du temps dans la littà ©rature en une autre dimension de perception du risque qui vient de la thà ©orie du comportement planifià © (Ajzen, 1991) et de ses applications dans la littà ©rature en entrepreneuriat. Dans cette thà ©orie, les intentions vis-à  -vis dun comportement donnà © sont dà ©terminà ©es par les attitudes vis-à  -vis du comportement, le degrà © de perception du contrà ´le de ce comportement et les normes subjectives lià ©s à   ce comportement. Ces normes expriment une certaine pression sociale qui est perà §ue par les individus et les poussent à   rà ©aliser le comportement ou à   ne pas le faire. Fayolle et al. (2008) sintà ©ressant aux perceptions du risque associà ©es à   la dà ©cision de crà ©ation dentreprise, ont trouvà © logique dinclure une dimension sociale à   leur à ©chelle de mesure du risque. Au-delà   de tout, dà ©marrer une nouvelle entreprise exige non seulement une capacità © financià ¨re et un engagement personnel, mais aussi un important soutien de la famille et des amis. Inversement, le faire peut avoir des consà ©quences positives et nà ©gatives pour ces deux groupes sociaux. Par ailleurs, le risque est le facteur clà © qui motive les entrepreneurs à   sengager dans le processus de crà ©ation et à ©galement le facteur qui dà ©courage les non-entrepreneurs. Pendant que les uns le perà §oivent comme une opportunità © à   saisir absolument, les autres le voient plutà ´t en termes de menace potentielle quil faut à ©viter. Plusieurs auteurs se sont intà ©ressà ©s à   ces deux aspects du risque entrepreneurial. Dabord une conceptualisation originale du risque entrepreneurial qui sà ©carte des modà ¨les traditionnels basà ©s sur la thà ©orie de lutilità © a à ©tà © prà ©sentà ©e par Dickson et Giglierano (1986). Dans leur modà ¨le, le risque entrepreneurial a deux composantes: le risque dà ©chec[6] et le risque de manquer une opportunità ©[7]. Dans la continuità © des travaux de Dickson et Giglierano, Fayolle et al. (2008) pensent aussi que le risque entrepreneurial est mieux conceptualisà © en termes de risque dà ©chec et de risque de manquer une bonne opportunità ©.En complà ©ment, ces auteurs suggà ¨rent dà ©tendre les idà ©es de Dickson et Giglierano en conceptualisant deux types de risque: Le risque comme une menace et le risque comme une opportunità © En tant que menace, le risque correspond à   la vision classique perà §u à   travers des pertes potentielles, limportance de ces pertes et lincertitude de ces pertes (Mullins et Forlani, 2005; Yates et Stone ,1992).Il correspond à ©galement à   la notion de risque dà ©chec ou  «Sinking the boat » dans lapproche de Dickson et Giglierano En tant quopportunità ©, le risque reprà ©sente la face opposà ©e du risque, perà §u à   travers des gains potentiels, leur importance et leur incertitude. Les gains potentiels sont, bien à ©videmment, la force motrice poussant les entrepreneurs à   agir. La conception du risque comme une opportunità © permet donc une meilleure comprà ©hension des facteurs qui motivent les entrepreneurs, en intà ©grant plus particulià ¨rement des notions telles que le sentiment de regret. Ce dà ©veloppement mà ¨ne à   la proposition suivante: H1: Les à ©tudiants en fin de formation perà §oivent le risque entrepreneurial comme une menace parce quils ont gà ©nà ©ralement peur dentreprendre et prà ©fà ¨rent pour la plupart poursuivre un emploi salarià ©. 1.2 Lintention Entrepreneuriale Le concept de lintention[8] entrepreneuriale a à ©tà © dà ©fini et expliquà © par plusieurs auteurs. Parmi eux, retrouvons Krueger et Carsrud (1993) qui dà ©finissent lintention entrepreneuriale comme une structure cognitive qui conclut les fins et les moyens. Partageant cet avis, Bird (1988) prà ©cise que «celle-ci reprà ©sente un processus cognitif qui naà ®t avec les motivations les besoins, les valeurs et les croyances ». Pour Grant (1996), lintention entrepreneuriale est dà ©finie par les jugements de lindividu sur la probabilità © de possà ©der sa propre entreprise. Ajzen(1991) quant à   lui dà ©finit lintention comme un  «indicateur » de la volontà © à   essayer, de leffort que lon est prà ªt à   consentir pour se comporter dune certaine faà §on. Tournà ©s (2006) souligne quelle est caractà ©risà ©e par la dà ©termination, la rà ©solution et la volontà ©. Au regard de ces dà ©finitions, on pourrait dà ©duire la place quoccupe lintention dans le processus entrepreneurial. En psychologie, lintention sest avà ©rà ©e ainsi à ªtre le meilleur moyen de prà ©voir un comportement planifià ©, particulià ¨rement lorsque ce comportement est rare et difficile à   observer. La crà ©ation dentreprise en est lexemple type dun tel comportement planifià © et intentionnelles. Selon les modà ¨les dintentions entrepreneuriales, lintention prà ©cà ¨de laction. En dehors des actes routiniers oà ¹ laction peut prà ©cà ©der lintention, un comportement intentionnel peut prà ©dire par lintention davoir un comportement donnà ©. Krueger et Carsrud (1993) en concluent que lintention entrepreneuriale a un rà ´le central dans le processus entrepreneurial parce quelle forme un à ©là ©ment de soutien des nouvelles entreprises. Mà ªme si les idà ©es daffaires naissent avec linspiration, Bird (op.cit.) fait remarquer quune attention et une intention soutenues sont nà ©cessaires pour les rendre manifestes. Elle prà ©cise que lintention entrepreneuriale oriente lexpà ©rience et laction vers lobjectif de crà ©ation dentreprise. Ainsi les intentions entrepreneuriales sont essentielles à   la comprà ©hension du processus gà ©nà ©ral dentrepreneuriat car elles à ©tablissent les caractà ©ristiques initiales des nouvelles organisations. Elle va plus loin pour conclure que lentrepreneuriat est un processus oà ¹ lintentionnalità © est centrale. Selon elle, là ©tude de lintention entrepreneuriale, fournit une voie avancà ©e de la recherche qui permet de dà ©passer les à ©tudes descriptives. Il ressort de ces dà ©veloppements que lintention permet de prà ©dire le comportement et par consà ©quent son à ©tude est trà ¨s indispensable pour expliquer le processus qui conduit à   la crà ©ation dune entreprise. Son intensità © et sa pertinence vont dà ©terminer toute la suite de la dà ©marche entrepreneuriale de lindividu. Doà ¹ notre proposition: H2: Lintention entrepreneuriale des à ©tudiants en fin de formation est trà ¨s faible car trà ¨s peu dà ©tudiants ont la volontà © de crà ©er une entreprise à   lissue de leurs formations. 2. La mà ©thode utilisà ©e 2.1 Les participants Les à ©tudiants en fin de formation constituent la population de base de cette recherche. Il sagit des à ©tudiants des troisià ¨me (BAC+3) et quatrià ¨me (BAC+4) annà ©es des entità ©s de formation publique. Cinq domaines de formation sont concernà ©s : les sciences juridiques, lagronomie, la mà ©dà ©cine, là ©conomie et la gestion. 2.2 La mesure des variables Cette recherche porte sur trois variables: la perception du risque entrepreneurial, la prà ©fà ©rence au risque, lintention entrepreneuriale La perception du risque entrepreneurial a à ©tà © mesurà ©e dans cette recherche grà ¢ce à   cinq (05) items adaptà ©s des travaux de Fayolle et al. (2008). La prà ©fà ©rence au risque des à ©tudiants a à ©tà © apprà ©cià ©e à   partir de cinq (05) items issus de lobservation et adaptà ©s de Weber et al. (2002). Considà ©rà ©e comme une volontà © individuelle et une libertà ©, lintention ou la volontà © est considà ©rà ©e par Hernandez (1999) comme le premier à ©là ©ment nà ©cessaire pour crà ©er une organisation. Elle rà ©flà ¨te lobjectif ou les objectifs du ou des crà ©ateur (s). Lintention entrepreneuriale des à ©tudiants a à ©tà © à ©valuà ©e sur deux dimensions : la perception de la dà ©sirabilità © et la perception de la faisabilità ©. La dà ©sirabilità © à   lentrepreneuriat des à ©tudiants a à ©tà © apprà ©cià ©e à   travers trois itemsadaptà ©s de Bird (1988). Les trois items demandaient aux à ©tudiants de se prononcer surla forte probabilità © de crà ©er une entreprise ou de poursuivre un emploi salarià © aprà ¨s les à ©tudes et ce quils pensent de leur chance de rà ©ussir dans la vie professionnelle en crà ©ant une entreprise. Afin de savoir ce que pensent les à ©tudiants de la faisabilità © de leurs intentions de crà ©er une entreprise, nous avons à ©galement retenu trois items. Ces items demandaient aux à ©tudiants de se prononcer sur la facilità © pour eux de devenir crà ©ateurs dentreprise ou de trouver un emploi salarial et sils pensent avoir un contrà ´le parfait de la situation en tant que crà ©ateur dentreprise. 2.3 Les principales à ©tapes de la recherche Cette recherche a dà ©marrà © par une observation du comportement entrepreneurial des à ©tudiants pendant et aprà ¨s leur formation. Cette observation nous a permis de nous rendre compte que malgrà © le taux du chà ´mage croissant, trà ¨s peu dà ©tudiants sengagent dans lentrepreneuriat. Les constats de cette observation ont nourri lidà ©e de la prà ©sente recherche qui repose sur trois variables. Ils ont aussi permis dà ©laborer quelques items et dadapter ceux issus de la littà ©rature. La mesure de ces variables a à ©tà © faite sur la base dun questionnaire denquà ªtes quantitatives. Structurà © à   base dà ©chelle dattitude, ce questionnaire est composà © dun ensemble de dix huit (18) items et rà ©partis en trois dimensions : la perception du risque entrepreneurial, la prà ©fà ©rence au risque, lintention entrepreneuriale à   travers la perception de la dà ©sirabilità © et la perception de la faisabilità ©. La partie identification de lenquà ªtà © concerne le domaine dà ©tude, là ¢ge, le sexe, le contact et la prà ©sence dentrepreneur dans la famille des rà ©pondants. Dans le but de và ©rifier la comprà ©hension et la cohà ©rence des items, un prà ©-test a à ©tà © effectuà © auprà ¨s dune dizaine dà ©tudiants. Deux items ont à ©tà © à ©liminà ©s et cinq autres reformulà ©s. Limportance de chaque item a à ©tà © à ©valuà ©e sur une à ©chelle de type Likert à   quatre points variant de 1 à   4:  «Pas daccord »,  «Ne sais pas », un peu daccord et  «daccord. Par ailleurs, comme recommandà ©s par Smith et Blackbum (1988) et Aupperle et al. (1985), les proprià ©tà ©s psychomà ©triques de validità © et dintà ©grità © du questionnaire ont à ©tà © examinà ©es. Linstrument sest rà ©và ©là © robuste avec le coefficient alpha dintà ©grità © de CrombachS à ©gal à   0,79. En tenant compte de la taille des à ©tudiants en fin de formation des cinq entità ©s[9] de formation dont les filià ¨res sont concernà ©es par la prà ©sente recherche, la taille n de là ©chantillon a à ©tà © obtenue grà ¢ce à   la formule ci-aprà ¨s: n ≠¥ [tÃŽ ±2 p (1-p) ]/e2 p est le pourcentage dà ©tudiants en fin de formation , p = 15% et q = (1-p); e la marge derreur (ici nous retenons e = 5%); tÃŽ ± la valeur de la loi de Student au seuil ÃŽ ±; ÃŽ ± le seuil de confiance recherchà © (pour ÃŽ ± = 95%, tÃŽ ± = 1,96) n= (1,96)2Ãâ€"0,15Ãâ€"0,85/(0,05)2 Soit n= 196 à ©tudiants. Mais nous avons retenu cinq cent (500) à ©tudiants. Ces à ©tudiants interrogà ©s sont de la tranche dà ¢ge 22 à   29 ans avec une forte dominance des individus du sexe masculin qui sont au nombre de 404 à ©tudiants (soit 80,80%) contre seulement 96 à ©tudiantes (soit 19,20%). Par ailleurs, 64,80% des interrogà ©s nont aucun parent crà ©ateur dentreprisealors que 21,20% ont un seul parent crà ©ateur et 14% affirme avoir plusieurs parents crà ©ateurs dentreprises. Le tableau n °1, nous prà ©sente la rà ©partition des enquà ªtà ©s suivant les diffà ©rentes filià ¨res de formation. Tableau n °1 Rà ©partition des enquà ªtà ©s par filià ¨re de formation Filià ¨res de formation Effectifs Frà ©quences Agronomie 92 18,40% Droit 74 14,80% Economie 156 31,20% Gestion 130 26% Mà ©decine 48 9,60% Total 500 100% La mà ©thode dà ©chantillonnage retenue est celle non probabiliste, prà ©cisà ©ment la mà ©thode de convenance. Nous avons choisi la mà ©thode non probabiliste en raison des difficultà ©s dexploitation de la liste officielle des à ©tudiants notamment labsence de coordonnà ©es prà ©cises pouvant permettre leur identification. Le questionnaire a à ©tà © administrà © face à   face. Quant à   lanalyse des donnà ©es, les rà ©sultats lià ©s au risque perà §u, à   la prà ©fà ©rence au risque et à   lintention entreprneuriale ont fait lobjet de calcul de score. Quant à   linfluence de la filià ¨re dà ©tude sur lintention, un test de khi-deux a à ©tà © effectuà ©. 3. Les rà ©sultats de la recherche Les principaux rà ©sultats de notre recherche porteront successivement sur la perception du risque entrepreneurial, la prà ©fà ©rence au risque et lintention entrepreneuriale des à ©tudiants. 3.1 Perception du risque entrepreneurial Les rà ©sultats obtenus sont consignà ©s dans le tableau n °2. Tableau n °2: La perception du risque entrepreneurial par les à ©tudiants Items Pas daccord Ne sais pas Un peu daccord Daccord TOTAUX Lorsquon crà ©e une nouvelle entreprise les probabilità ©s de faillite sont trà ¨s à ©levà ©es 152 (30,40%) 236 (47,20%) 112 (22,40%) 500(100%) Dans la crà ©ation dune nouvelle entreprise, les possibilità ©s de gagner beaucoup dargent sont trà ¨s à ©levà ©es 144 (28,80%) 254 (50,80%) 102 (20,40%) 500 (100%) Si jà ©chouais dans la crà ©ation dune nouvelle entreprise, je perdrais mon honneur 270 54% 118 23,60% 112 22,40% 500 100% Toute idà ©e dentreprise comporte des risques; je vois cela comme une opportunità © 52 (10,40%) 02 (0,40%) 88 (17,60%) 358 (71,60%) 500 (100%) En rà ©sumà ©, je vois loption de crà ©er une nouvelle entreprise comme une chose positive 10 (2%) 04 (0,80%) 64 (12,80%) 422 (84,40%) 500 (100%) Source: Rà ©sultats des enquà ªtes, juin 2009 47,20% des à ©tudiants admettent quelque peu que les probabilità ©s de faillite des nouvelles entreprises sont trà ¨s à ©levà ©es, contre 22,40% qui ladmettent entià ¨rement. Ces rà ©sultats sont sensiblement voisins à   ceux recueillis à   propos des possibilità ©s de gagner beaucoup dargent dans la crà ©ation dune entreprise. Par contre, 54% dentre eux nadmettent pas quon pourrait perdre son honneur suite à   un à ©chec dans la crà ©ation dune nouvelle entreprise. La quasi-totalità © soit respectivement 71,60% et 84,40% est entià ¨rement daccord que le risque entrepreneurial est une opportunità © et la crà ©ation dune entreprise, une initiative positive. 3.2 Prà ©fà ©rence au risque Les rà ©sultats sont rà ©sumà ©s dans le tableau n °3 Tableau n °3: Lapprà ©ciation de prà ©fà ©rence au risque des à ©tudiants Items Pas daccord Ne sais pas Un peu daccord Daccord TOTAUX Entre crà ©er mon entreprise et à ªtre salarià ©, je prà ©fà ¨re crà ©er mon entreprise 38 7,60% 28 5,60% 98 19,60% 324 64,80% 500 100% Entre crà ©er mon entreprise et à ªtre salarià ©, je prà ©fà ¨re à ªtre salarià ©. 288 (57,60%) 34 (6,80%) 130 (26%) 48 (9,60%) 500 (100%) Je prà ©fà ¨re crà ©er mon entreprise car cela me rend indà ©pendant 40 (8%) 18 (3,60%) 98 (19,60%) 144 (28,80%) 500 (100%) Je prà ©fà ¨re à ªtre salarià © car cela me garantie lemploi 216 (43,20%) 22 (4,40%) 162 (32,40%) 100 (20%) 500 (100%) Je prà ©fà ¨re crà ©er mon entreprise car je peux y gagner beaucoup dargent 48 (9,60%) 20 (4%) 184 (36,80%) 248 (49,60%) 500 (100%) Source: Rà ©sultats des enquà ªtes, Juin 2009 Ici, la prà ©fà ©rence à   lentrepreneuriat a à ©tà © exprimà ©e à   64,80% contre seulement 9,60% pour lemploi salarià ©. On remarque à ©galement que 43,20% des rà ©pondants ne sont pas daccord pour la garantie de lemploi comme raison pour la prà ©fà ©rence à   lemploi salarià ©. Or 49,60% prà ©fà ¨rent lentrepreneuriat parce quils espà ¨rent y gagner beaucoup dargent. 3.3 Lintention entrepreneuriale des à ©tudiants Nous avons à ©valuà © lintention entrepreneuriale des à ©tudiants sous deux aspects: la perception de la dà ©sirabilità © et la perception de la faisabilità ©. Les tableaux 4 et 5 portent respectivement sur chacune de ces dimensions. Tableau n °4: La perception de la dà ©sirabilità © par les à ©tudiants Items Pas daccord Ne sais pas Un peu daccord Daccord TOTAUX Aprà ¨s mes à ©tudes, la probabilità © que je crà ©e mon entreprise est trà ¨s forte 66 (13,20%) 92 (18,40%) 156 1,20% 186 (37,20%) 500 (100%) Aprà ¨s mes à ©tudes, la probabilità © que je poursuive une carrià ¨re de salarià © est tr

Friday, October 25, 2019

A Comparison of Charlotte Bronte Biographies :: compare contrast comparison

A Comparison of Charlotte Bronte Biographies    Over the years, there have been many biographies written about Charlotte Bronte. Elizabeth Gaskell's The Life of Charlotte Bronte has been regarded as the standard work. Winifred Gerin's biography, Charlotte Bronte: The Evolution of Genius (published in 1967) was the first to include new information on Bronte. Gerin says, "It is paradoxical that the standard work is still Mrs. Gaskell's Life. This remains a great biography, but published two years after its subject's death it suffered from the inevitable limitations thus imposed . . . and was not bettered by immediate followers" (xiv). Gerin felt that "the main contributions to Bronte studies in this century have been on the editorial plane" and sought to write a factual, unbiased biography (xiv). Lyndall Gordon's biography, Charlotte Bronte: A Passionate Life, took a feminist view, which was a different view from that of all previous biographies. Each biographer was affected by the cultural views of women of the time. Since Jane Eyr e is seen as a reflection of Bronte’s life, the view of Jane Eyre has also changed with the times. In her biography, Gaskell sought to hide Bronte's excess passion and blamed it on the tragedies she suffered, whereas Gerin recognized Bronte 's passion as a part of her personality that contributed to her writing, and Gordon embraced it as the most important aspect of Bronte 's life. In June of 1855, Mrs. Gaskell received a letter from Reverend Patrick Bronte, on behalf of himself and Bronte's husband, Reverend Arthur Bell Nicholls, asking if she would write a biography of Charlotte Bronte. Ellen Nussey, Bronte's friend, had written to Patrick Bronte and Nicholls concerned with her friend's reputation and some speculations made by the press. Ellen Nussey demanded that these speculations be challenged. Had the Bell brothers (Charlotte, Emily and Anne's pseudonyms) been three separate people? Were they male or female? According to Gaskell, people began wondering if the "author [of Jane Eyre] forfeited the right to keep the company of respectable women" (vii) because of her coarseness ("by which Victorians meant vehemence and passion") (Gordon 347)? Ellen suggested that Gaskell, a friend of Bronte’s and an established author, write Charlotte's biography. In writing the biography, Gaskell used her own notes and letters describing her meetings with Charlotte Bronte. Patrick Bronte provided a skeleton biographical outline (not always accurate in detail) of himself and his family (Gaskell xiii).

Thursday, October 24, 2019

Killing Custer Book Review Essay

From time to time, a book of true historical significance is written on a subject that has been written on almost endlessly. The Battle of the Little Big Horn is one of the most written about, speculated on, celebrated, talked about, and glorified events in American History. Popularly known as â€Å"Custer’s Last Stand†, it has been the subject of many films, documentaries, novels, and was even re-enacted at every Wild West Show put on by Buffalo Bill Cody. In the work Killing Custer: The Battle of Little Bighorn and the Fate of the Plains Indians, Welch and Stekler do an excellent job in the subject matter at hand, and come to the correct conclusion that this battle, which was a huge military disaster for the United States, directly resulted in an even greater disaster for the Indian victors who won it: that is, total defeat and total subjugation. The first chapter sets up the massacre of the Blackfeet on the Marias River, James Welch and Paul Stekler have done a magnificent job in researching and putting forth, a new book on this subject that has been so written about. Citing much of the new discoveries, that is archeology, and the Indian accounts, Welch was originally contacted by Stekler to do a script for a documentary for PBS’s â€Å"American Experience: Last Stand at Little Bighorn†. They worked on it together, and that particular one hour documentary was excellent. Feeling that he hadn’t exhausted the subject, Welch delved more deeply into it, and wished to write a book on the subject. â€Å"Killing Custer† was the result, and it is quite excellent indeed. It is a stunning and thrilling read from cover to cover. The information is not wholly new, but Welch and Stekler combine all of the newest discoveries into one stirring volume, and they stress the narratives, which in the past were largely discarded and disclaimed, of the Indian accounts of the battle, after all, they were the ones who survived it! The authors rightly put the battle into its historical perspective, pointing out that this huge defeat of the United States Military led directly to the total subjugation and defeat of the Plains Indians, putting them on reservations once and for all, with the final defeat and insult at Wounded Knee, the massacre that was so unnecessary and so tragic.

Wednesday, October 23, 2019

Campare Sonnet Essay

Shall I compare you to a summer’s day? Thou art more lovely and more temperate:| You are more lovely and more constant:| Rough winds do shake the darling buds of May,| Rough winds shake the beloved buds of May| And summer’s lease hath all too short a date: | And summer is far too short:| Sometime too hot the eye of heaven shines,| At times the sun is too hot,| And often is his gold complexion dimm’d; | Or often goes behind the clouds;| And every fair from fair sometime declines,| And everything beautiful sometime will lose its beauty, By chance or nature’s changing course untrimm’d;| By misfortune or by nature’s planned out course. But thy eternal summer shall not fade | But your youth shall not fade,| Nor lose possession of that fair thou owest;| Nor will you lose the beauty that you possess;| Nor shall Death brag thou wander’st in his shade,| Nor will death claim you for his own,| When in eternal lines to time thou growest:| Because in my eternal verse you will live forever. | So long as men can breathe or eyes can see,| So long as there are people on this earth,| So long lives this and this gives life to thee. So long will this poem live on, making you immortal| My mistress’ eyes are nothing like the sun;| My mistress’s eyes are nothing like the sun;| Coral is far more red than her lips’ red;| Coral is far more red than her lips;| If snow be white, why then her breasts are dun; | If snow is white, then her breasts are a brownish gray;| If hairs be wires, black wi res grow on her head. | If hairs are like wires, hers are black and not golden. I have seen roses damask’d, red and white,| I have seen damask roses, red and white [streaked],| But no such roses see I in her cheeks; | But I do not see such colors in her cheeks;| And in some perfumes is there more delight | And some perfumes give more delight| Than in the breath that from my mistress reeks. | Than the horrid breath of my mistress. | I love to hear her speak, yet well I know | I love to hear her speak, but I know| That music hath a far more pleasing sound;| That music has a more pleasing sound. I grant I never saw a goddess go;| I’ve never seen a goddess walk;| My mistress, when she walks, treads on the ground:| But I know that my mistress walks only on the ground. | And yet, by heaven, I think my love as rare | And yet I think my love as rare| As any she belied with false compare. | As any woman who has been misrepresented by | The sonnet 18 is a Shakespeare’s early love poem which is about affection of a young man to his beloved. It starts with the genuine question, â€Å"shall I compare thee to a summer’s day? † The speaker is t hinking about his lover’s beauty rather than putting her poem in a conventional love poem formula. Then, he points out her lover’s beauty was more beautiful and constant than a summer day; her beauty was eternal and would be preserved in the lines of this poem. However, Sonnet 130 is a more convincing love poem because it is more descriptive and realistic in depicting his lover which shows that his love is more sincere and everlasting. Sonnet 18 is about the feeling of perfection of his lover’s beauty while sonnet 130 is about the real appearances of her mistress. In sonnet 18 the speaker says, â€Å"Shall I compare thee to a summer’s day? Thou art more lovely and more temperate:† Although summer is pleasant season, the speaker never talks about how his lover is like a summer day nor how she was more lovely. He did not give life to his lover because we can use this poem to mostly every woman in the world; he does not specifically describe his lover. In sonnet 130, the speaker explicit states what his mistress looks like. The speaker says, â€Å"My mistress’ eyes are nothing like the sun;/Coral is far more red than her lips’ red;/If snow be white, why then her breasts are dun; /If hairs be wires, black wires grow on her head. It explicitly describes his lover in an honest way. Although love poems often use sun, snow and beautiful objects to praise the beauty of their subject, realistic love is not about an idealized sense of beauty. A person cannot love another one simply because they are physically beautiful. We think that the women with red lips, white skin and gold hair are beautiful, but does it mean the women that having â€Å"not so† red lips, brownish skin, and black hair are not beautiful? Beauty is subjective. When people love someone, they would define beau ty by his/her standard. By describing in detail of his lover’s appearance, the speaker of sonnet 130 really know his lover. Love is not only about the feeling of a warm sunny summer day, but know a person as a distinguish individual. Sonnet 130 make his lover feel special and superior because the speaker pay quite attention to her actual appearance, and honestly writes it down in a poem. It also gives her the sense of security because she knows he loves her for who she is and she does not need to pretend to be a perfect figure nor be an everlasting summer day. Sonnet 130 ses reality to prove the speakers love while sonnet 18 uses exaggeration. Sonnet 18 illustrates only the speaker’s love for his beloved’s beauty while in sonnet 130 illustrates more sincere love for her mistress even though she is not perfect. In sonnet 18, the speaker claim his lover was eternal by saying, â€Å"By chance or nature’s changing course untrimm’d;/But thy eternal summer shall not fade /Nor l ose possession of that fair thou owest;/ Nor shall Death brag thou wander’st in his shade,† The speaker praise that her beauty stronger than the nature. Although the speaker values her beauty greatly and even believed her is beauty has the power to overturn the nature, it is only his wish and imagination that her beauty would not change. It will not be convincing to a woman since they consciously know that appearance will change. His lover will feel that the speaker only focuses on her beauty, but not anything else. In sonnet 130, the speaker states, â€Å"I love to hear her speak†. The speaker loves her thinking, her opinions and her intellects. The speaker values her thought which is not very common even in current society. Relationship is about equality and respect. Many men treat women as an object that has nothing inside. Even in sonnet 18, the speaker compares his lover as an eternal summer which also an object. Then, the speaker says, â€Å"I grant I never saw a goddess go;/My mistress, when she walks, treads on the ground:† . The speaker wants to compare his mistress with a goddess as many sonnets do, but he admits that he never saw one. It mocks that other poets are dishonest which compare their lover to a figure they never see. He emphasized the word â€Å"my mistress† which shows that he takes pride that this woman is his mistress as while as the ways his mistress is like. He shows that this poem is about her mistress but not anybody else, not even goddess can compare with his mistress. He cares only his mistress which makes her even superior to a goddess. He shows that although her mistress is not an immortal figure, but her mistress is special for him. Then, speaker of sonnet 130 transits his understanding of her mistress to his confession of love while in sonnet 18, the speaker transits his lover’s beauty to mortality. The speaker of sonnet 18 uses poetry to eternalize his lover while in sonnet 130, the speaker shows that his love for her is eternal. In the end of sonnet 18, the speaker says, â€Å"So long as men can breathe or eyes can see, /So long lives this and this gives life to thee†. The life of the subject will be an endless summer, but only because the speaker has immortalized her in this poem, and only if people continue to read these verses. It makes the readers feel that the poem itself is greater than the subject. The poem builds up this subject with eternal beauty and the subject only lives in the poem. However, this poem is for a living woman, and she is not living by her beauty or by the poem. Every woman knows this poem cannot real give immorality to them because the readers do not even know who the subject is. Not only the woman reading this poem cannot relate herself to this poem, buy she also will feel the speaker’s love is unrealistic and superficial and will not last long. In contract, in sonnet 130, the speaker claims that â€Å"And yet, by heaven, I think my love as rare†. His claim is convincing because in previous lines, he honestly depict his mistress and we expect he is honest when he says that he loves her. Furthermore, if his love for her is not because she is idealized beautiful since she is not, then he must love her because of her which we define as true love. His love would not fate with changing of appearance or time. His mistress would feel that she has the speaker’s heart forever. Sonnet 130 well proved the speaker’s love for her mistress; his love is about understanding and respect; his love is strong and everlasting. In contrast, sonnet 18 is more about the speaker’s passion to his lover’s beauty than his love for her as a whole individual. Many people say romantic love would last long. It is because that when people know each other well, their flaws would appear, and they are intolerance to these flaws. They would try everything to change each other to the way they want, but they most likely fail. Everyone is difference and not perfect, so when people love someone, they should acceptance their flaws.